vie au travail (lot)

Exposition de peintures « Couleurs et entrelacs »

Exposition

Miers 46500

Du 15/06/2024 au 12/07/2024

Cinq artistes de Miers et Thégra déclinent leur vision du monde, leur sensibilité, leur rêverie, avec des approches différentes, sur des supports parfois surprenants, où des courbes s’entremêlent et des touches de couleurs s’entrecroisent. Pascal Lamic Son travail à l’encre de chine est une poésie calligraphique. La magie des courbes qui s’enlacent est hypnotique et démontre le plaisir évidant de l’artiste à nous offrir un spectacle qui contente l’œil et révèle toutes les rondeurs de ses thèmes. Ginette Izorches Avec beaucoup de liberté, cette peintre décline des paysages en plusieurs interprétations selon son imagination et son plaisir, mêlant peinture acrylique, feutre et collage. Jean-Bernard Riquet Ce dessinateur aime le portrait au crayon graphite, les paysages à l'encre de Chine, souvent accompagnés de couleurs, un mélange d'aquarelle ou d’encre colorées. Il utilise diverses techniques suivant le sujet et son humeur. Simone Guignard L’artiste peintre, par touches de couleurs, par techniques mixtes, partage son regard sur le monde réel ou imaginaire. Elle peint comme cela vient, avec du hasard, de l'instantané et parfois de l'inachevé, à l'image de la vie. [...]

Exposition "Marie-Christine Roy-Manifeste à l'existence, de la ligne de champ au chant du signe"

Saint-Cirq-Lapopie 46330

Du 21/04/2024 au 23/06/2024

Marie-Christine Roy (née en 1950 à Tours) arrive en 1975 à Saint-Cirq-Lapopie. Proche de la dernière compagne d’André Breton, Élisa Breton (née Bindhoff-Enet), toutes deux se lient d’amitié jusqu’au décès de cette dernière en 2000. Marie-Christine, arrivée par hasard de Paris se mêle rapidement à la jeune génération d’artistes, admirateurs des surréalistes. Tous viennent puiser dans le Lot l’inspiration et le rêve d’une vie alternative. D’abord académique et tournée vers l’impressionnisme ou le romantisme, les influences de Marie-Christine connaissent un tournant lorsqu’elle expérimente l’automatisme psychique et découvre de manière concomitante les œuvres de Francis Picabia, Unica Zürn ou Hans Bellmer. L’artiste n’a jamais exposé son travail seule, et les rares occasions qui l’amenèrent à le montrer la conduisirent à s’écarter des projecteurs préférant puiser la lumière ailleurs, celles de ses lectures et des rencontres. « Itinéraire d’une libellule », comme elle aime à le qualifier, c’est une sensibilité à l’état « brut », ou, pour emprunter les termes d’André Breton, « un œil qui existe à l’état sauvage ». Il va de soi que cette révélation n’eût pu avoir lieu qu’à la[...]